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ANALYSE DU PRETENDU "PACTE INTERGENERATIONNEL" P1 P2 DOCUMENT CONCOCTE PAR LE SNMSF, AU TITRE "DANS L'AIR DU TEMPS" , FAUX RAPPEL DU CONTRAT DE GENERATIONS DU GOUVERNEMENT ACTUEL, AFIN DE TROMPER POLITIQUES, MEDIA, OPINION PUBLIQUE, JUGES ET MONITEURS DE SKI, DOCUMENT CACHANT A NOS YEUX DEUX DISCRIMINATIONS, L'UNE ENVERS LES MONITEURS LES PLUS ANCIENS, L'AUTRE VIS A VIS DES PLUS JEUNES : TOUT LE CONTRAIRE DU CONTRAT DE GENERATIONS DE MR LE MINISTRE DU TRAVAIL MICHEL SAPIN (au cabinet duquel furent envoyé les documents ci-dessous)
Bonjour, Voici une analyse
détaillée du prétendu « pacte Intergénérationnel »,
vue par de simples moniteurs de ski directement concernés, cependant
jamais concertés, ainsi qu'une explication sur les méthodes
utilisées par le SNMSF pour le faire valoir au près des
autorités politiques et aux média. Il est bien loin d'être
inutile de prendre le temps de lire en entier ce document lourd, convenons-en,
mais cependant pas encore exhaustif. Pour bien comprendre
le fonctionnement du SNMSF, il faut bien en connaître Le SNMSF qui regroupe des ESF, appelés syndicats locaux, groupements d'indépendants, est dirigé par un Comité Directeur constitué de moniteurs de ski élus par un Congres National dont les membres décideurs sont les directeurs des ESF élus à ce titre par fonction et des délégués syndicaux normalement élus par les membres de leur ESF selon le nombre de moniteurs par école (élections très souvent sans réunion, quand élections il y a...). Les membres du
Comité Directeur et les directeurs ESF, ces derniers les plus nombreux
en cette assemblée dirigeante, s'offrent par vote du congres des
statuts particuliers proposés par le Comité Directeur, spécialement
dans le domaine de la retraite qui diffère de celle des autres
moniteurs. Ce qui explique leur grande cohésion électrice...
Outre le droit de travailler à vie au titre de directeurs, ces
derniers ont bénéficié jusqu'en 2007 de quatre trimestres
retraite par année pour exactement la même cotisation forfaitaire
que tous les autres moniteurs de ski qui eux ont eu droit à seulement
deux trimestres. Le temps passé aux affaires ESF étant présenté
comme plus long que celui des simples moniteurs, alors qu'en vérité
une grande majorité des ESF n'ouvraient pas et n'étaient
pas joignables plus de 6 mois en une année, et que les autres moniteurs,
en tant qu'indépendants maintiennent parfois des liens à
but professionnel hors saison, ni plus ni moins... D'autant que l'on sait
dorénavant que le nombre de trimestres CIPAV dépend du montant
de la cotisation... Les directeurs sont le plus souvent payés en
fonction de la moyenne des trois meilleurs moniteurs, d'où l'intérêt
pour eux de la distribution à l'ancienneté, problème
essentiel en notre affaire face au besoin de favoriser le travail pour
les jeunes. Le SNMSF se présente
comme « représentant » quasi institutionnel
de la profession de moniteur de ski en France, parce qu'il représenterait
quelques 90% du nombre total de moniteurs de ski en France. Cela ne le
rend pas pour autant institutionnel, d'autres structures commerciales
au titre de syndicat identique existent. Il est écrit qu'il y aurait
quelques 20 000 moniteurs de ski en France, pour 17 000 moniteurs ESF. Et pour en finir
avec cette appellation de syndicat, la définition comprise à
l'universel d'une telle dénomination réside dans sa propriété,
sa volonté à défendre ses adhérents. Or la
structure actuelle et son fonctionnement font du SNMSF un organisme de
défense d'une enseigne commerciale (dont il faut obligatoirement
prendre la carte « syndicale » pour pouvoir travailler
avec lui par exemple) tout en prétendant défendre la profession
dans sa totalité. Il ne défend que ses intérêts
propres, de ses dirigeants, de ses directeurs et d'une bulle, caste intermédiaire
dont on élimine et ponctionne les extrémités, tout
en cantonnant par réseau d'influence la concurrence à un
rôle secondaire, sinon clonique. Voilà
comment, grâce à sa « composition dirigeante »,
décide et fonctionne en tout pouvoir le SNMSF. Nous ne détaillons
pas les sanctions financières et les chantages au label qu'ose
utiliser le SNMSF face aux moniteurs et aux ESF récalcitrants (annexe
N°21 et
1 Sanction Bellavia, La Toussuire, et Chantage au label aux
Karellis). LE PRESIDENT DU SNMSF Pour en savoir plus sur les capacités d'influence et de lobbyisme du Président du SNMSF, se reporter à la page internet : http://www.ledauphine.com/haute-savoie/2010/05/17/gilles-chabert-reelu-president En confirmation
de son réseau, de ses prétentions d'influence, le président
du SNMSF ose écrire dans Traces (DOC
N°17) Question Réponse sur les honoraires
et frais de représentation,du Comité Directeur du SNMSF)
qu'il se refuse de donner à ses adhérents ses montants d'honoraires
et frais de représentation parce qu'ils sont conséquents :
car il invite des ministres. Ministres dont les noms sont pourtant bien
faciles à retrouver. Est-il opportun de relever en parallèle
la bienveillance, l'impunité dont a bénéficié
Mr Gilles Chabert, déjà président du SNMSF, alors
dénoncé comme le principal responsable de la gestion d'une
assurance retraite illégale et déficitaire par une commission
de l'Assemblée nationale de 2007 (DOC
N°6 Au sujet d'une illégalité Cybergazette),
après un premier refus auparavant avéré du SNMSF
de rentrer dés les années 60, comme la loi l'exigeait alors,
dans un régime général de retraite. Refus empêchant
ainsi des moniteurs de ski de voir valider normalement leurs trimestres
jusqu'en 1978. Autre exploit ! Comme l'acceptation sans remous du
manque à gagner de quelques 80 millions d'euros que récupère
la CIPAV, organisme de retraite, lors du rachat clairement déficitaire
par elle du Fond de Prévoyance établi illégalement
par le SNMSF...
SUIVI D'UNE SIMULATION DE FONCTIONNEMENT EQUITABLE EN UNE AUTRE ESF SI ELLE FONCTIONNAIT TEL L'ESF DES ARCS 1800 . Voir le site : http://retraite.moniteuresf.free.fr/Retraite%20Moniteurs%20ESF/ , soit plus haut. En conclusion,
l'ESF des Arcs 1800 qui s'est vue imposée par le SNMSF d'inscrire
malgré elle en 2008/2009 une discrimination dans sa convention
propre, se voit déboutée pour discrimination le 21/02/2012
par le TGI d' Albertville.
Vous avez demandé de vous envoyer des documents précis sur la situation réelle dans les ESF à ce sujet, nous nous permettons de vous préciser qu'une investigation calme et exhaustive vous offrirait du grain à moudre (dans bien d'autres domaines également...), et devrait faire partie des démarches que seule une commission d'enquête pourrait parfaire. Cependant, il est de notoriété publique que la distribution à l'ancienneté est le fondamental de la distribution du travail assumé et préconisé par le SNMSF comme l'indique les documents annexes. Les quelques exemples annexes devraient cependant suffire pour prouver l'inégalité, pour ne pas dire l'illégalité, de ce "fondamental" (DOC N°7 et 23, 25, 26, sinon se reporter aux conclusions du procès au TGI d'Albertville ) Jusqu'à
ce jour, la distribution du travail préconisée et revendiquée
par le SNMSF au près des ESF est une distribution à l'ancienneté
qui fait que les derniers arrivés dans les ESF, les plus jeunes
moniteurs à diplôme d'état reconnu et équivalent
avec tous, donc, et avec statut d'indépendant égal, se voient
donner du travail une fois les autres moniteurs (exceptés les plus
anciens exclus avant l'âge) entièrement servis, avec parfois
quelques nuances liées à des règles internes plus
ou moins contraignantes parfois dues au simple relationnel local... selon
le bon vouloir d'un directeur ou d'un règlement interne pas toujours
spécifié. Les jeunes jouant, outre celui de laisser un pourcentage
conséquent, ici un rôle d'éponge à l'envi et
sans limites des excédents ou manques de travail, tout comme les
plus anciens en deuxième rang. Etat de fait non
établi dans quelques rares ESF comme celle des Arcs 1800 où
depuis 1990/1991 était instaurée une distribution du travail
égalitaire, quelque soit l'âge. Ce qui explique d'ailleurs
que les moniteurs de cette ESF aient accepter à la majorité
en 2008 de laisser travailler jusqu'à âge de retraite légal
à taux plein sans la moindre restriction tous les moniteurs. Seule
l'intervention par pression du SNMSF a fait changer les choses. Quand
on voit maintenant que le pacte intergénérationnel autorise
à ne faire travailler les moniteurs les plus jeunes qu'à
concurrence non assurée de 3 600 euros la saison (DOC
N° 2 Minimum CIPAV), on se dit que le retour en arrière
va coûter cher à tous ces jeunes, sinon ne rien changer,
car si le SNMSF prétend le contraire en disant qu'il compte sur
la bonne volonté des ESF pour valoriser ces minima en cas de besoin
(DOC N°
20 Trace P 35 ), c'est bien en anticipation vers le
bas, en fonction de la fréquentation et de la neige... Ah oui, il est écrit aussi que le "retraité ESF" doit rester à DISPOSITION de son ESF (DOC N° 11)
La différence entre le texte jugé définitivement illégal par le TGI et le SNMSF lui-même dorénavant, réside en deux choses. La première
consiste à ajouter un an, 61 à 62 ans avant statut d'occasionnel
à partir duquel un moniteur est servi en travail par son ESF qu'une
fois les autres moniteurs entièrement servis, soit disant pour
coller avec les 62 ans de droit légal à une demande de retraite
qui par définition ne demeure qu'une demande potentielle pour qui
le souhaite, mais surtout pour qui le pourrait financièrement,
mais, ne sont pas précisées, outre la perte irrémédiable
d'un droit au travail acquis, les notions d'avant taux plein, d'absence
d'obligation légale, de décote, de taux plein, alors que
les pertes avant l'heure sont conséquentes mais non avouées.
Bref, à travers ce pacte le SNMSF semble cacher deux discriminations à nos yeux, et tente de les légaliser : une vis à vis des anciens, l'autre vis à vis des jeunes. Un comble !
1) Installation d'une structure directrice, congres national extraordinaire, dépendante par favoritisme lié au sujet à aborder, le droit au travail et à la retraite, et tri sélectif question représentativité. Un Congres National aux ordres. La preuve et conclusion? Droit de travailler à vie pour les directeurs ESF à ce titre, 4 trimestres donnés auparavant contre 2 aux autres moniteurs pour le même prix, on l'a vu. Tout cela pour un pourcentage de réponses toujours favorables aux propositions du syndicat au dessus de 90% ! Pourcentage qui ne peut qu'impressionner politiques, média et autres moniteurs. 2) Manipulation d'un (texte d'un) organisme d'état, La Halde/Le Défenseur des Droits, par l'intermédiaire d'un lien « politique », avec son président, Mr Dominique Baudis, et des rencontres montrant un esprit de respect des attentes anti-discriminatoires souhaitées par la loi et cet organisme, sans toutefois présenter à cet organisme le texte final, le pacte intergénérationnel. En échange et en forme d'encouragement, sur demande du SNMSF, cet organisme fait un courrier dans lequel ressort la validation de la méthode, même si elle ne valide pas le texte final qu'elle ne connaît apparemment pas. Validation dont elle se défend cependant (Le Point), et heureusement pour elle car ce n'est pas dans son rôle de valider ce qu'elle ne connaît pas, ni de légiférer. Mise sous influence possible des politiques par voies d'invitations reconnues et avérées. 3) Désinformation des votants décideurs par voies d'omissions du courrier du président de la Halde dans le magazine Trace distribué suffisamment à l'avance pour forger les esprits des décideurs inquiets d'éventuelles discriminations cachées, document raccourci qui laisse croire que la Halde donne son aval au pacte pour lequel ils doivent voter. Les votants sont rassurés. On donne quand même au dernier moment (le matin même du congres...) le contenu entier du courrier (qui n'a pas le temps d'être étudié) parce que le magazine Le Point revèle l'avant-veille la «manipulation». (DOC 20, Traces courrier raccourci, Courrier intégral de la Halde 8, 9 , Article du Point 4) 4) Le Pacte est accepté comme prévu à une très grande majorité par le Congres National extraordinaire. Pacte que chaque moniteur devra accepter par simple signature de la convention qui le lie à son ESF et le SNMSF, signature pourtant déjà demandée et faite un mois avant ce congres et juste avant l'ouverture de la saison. (Les convocations, la présentation du texte et des alinéas, et la consultation de la base ne semblent cependant pas respecter toutes obligations liées à un tel vote ; la question est posée) 5) On utilise des termes fédérateurs, aux consonances sociales dans l'air du temps : pacte, intergénérationnel, majorité, solidarité savoyarde, et on les fait connaître de façon unilatérale aux politiques locaux (naïfs ? Ou sous influence dont parle aisément Gilles Chabert à travers ses déclarations dans Traces et dans la presse?), et à la presse locale de façon très unilatérale, dans Le Dauphiné Libéré dont Gilles Chabert est administrateur. 6) On va au ministère de la Jeunesse et des Sports, puis au ministère du Travail avec des parlementaires proches, naïfs ?, mal informés ?, (sinon sous influence ?), où sont présentés les mêmes termes, le Dauphiné Libéré sous le bras (en occultant toute autre presse nationale comme locale largement moins engagée et sensible aux faux-semblant du texte), le pourcentage des votes et le pourcentage de représentativité du SNMSF dans la profession de moniteur de ski. Tout le monde est convaincu de l'aspect social et accepté de ce pacte. Mais comme on sait qu'il dissimule certainement une ou deux illégalités et qu'il s'oppose à la réalité financière des moniteurs concernés, et au contrat de générations, on va tenter de le faire passer en force en ce ministère via un décret, une loi (?). Bien entendu, les moniteurs les plus anciens "gavés" (pourtant faux) et bénéficiant d'une retraite royale (pourtant faux) offre une partie de leur boulot avec enthousiasme aux plus jeunes... Le député Joël Giraud, convaincu du bien fondé du pacte intergénérationnel, soit, s'il sait lire, de limiter le travail des jeunes et des plus anciens en situations financières difficiles, à moins qu'il ne fut mal informé ?, s'en occupe, en tentant de noyer le "pacte intergénérationnel" dans le Contrat de Générations de Mr Michel Sapin... Ses électeurs vont être ravis d'apprendre la nouvelle si elle se confirme! La grande classe en cette affaire, c'est que c'est un fervent déclaré d'une politique de droite, Gilles Chabert, qui tente de faire porter le chapeau d'une restriction légalisée de la valeur des retraites et du travail des jeunes et des plus anciens dans le domaine des indépendants, des libéraux, plutôt électeurs de droite qui se verront ainsi trahis (travailler plus pour ...), à une majorité de gauche, dite sociale... A aucun moment,
notre point de vue n'a été sollicité. Seule cette
analyse expliquée en « procédure d'urgence »,
grâce à un ministre, présente nos arguments qui, même
si ils n'étaient pas entendus, seront dispensés largement
à la presse et à la justice afin de bien expliquer la démarche
discriminatoire et tacticienne du SNMSF. Bien entendu le fond de cette
affaire nous scandalise, nous les simples moniteurs de ski dans une situation
sociale loin d'être enviable. Seuls ont les moyens de vivre sans
travailler à plein temps ceux qui par définition en ont
les moyens, soient les membres du Comité Directeur du SNMSF, en
particulier Mr Gilles Chabert avec ses multiples casquettes et ses quelques
200 000 euros de parachute doré, les directeurs ESF, et quelques
moniteurs de moins en moins nombreux installés grâce à
une activité parallèle suffisante pour pallier aux insuffisances
financières rencontrées quand ils étaient les plus
jeunes et seront les plus anciens. L'action en justice au près du TGI de Grenoble du 21/01/2013 reste un pare-feu dans lequel réside l'espoir de simples gens qui ne souhaitent qu'une chose : pouvoir travailler normalement pour pouvoir vivre simplement. Rien de plus ! Certainement pas le souci de Gilles Chabert et ses protecteurs trompés ou non par cet artifice alléchant dans son appellation: le Pacte Intergénérationnel.
Que dire également
de l'obligation que tente d'imposer le SNMSF sur tous les syndicats locaux ?
Quel est son droit légal d'agir ainsi, d'imposer à chaque
moniteur via sa signature en bas de la convention, comme c'est écrit
dans la convocation au Congres National extraordinaire (DOC
N°3 Convocation au C N E du 24/11/2012) à propos
duquel on peut s'interroger tant sur les temps de convocation, d'explication
des motions, et de l'absence de communication et de concertation des simples
moniteurs, tout autant que sur la date de mise en action dés cet
hiver alors que la saison était déjà entamée
pour certaines stations ? D'autant que chaque ESF fonctionne dans
des stations de ski aux infrastructures, à l'historique, à
la clientèle, etc..., différentes. D'autant que déjà
des ESF telles celles des Arcs 1800 (DOC
N° 18), de Val d'Isère, de La Rosière, de
Val Thorens, et quelques autres fonctionnent depuis un moment bien différemment
que ce que veut imposer le SNMSF à travers ce pacte. Certaines
de ces ESF, Les Arcs 1800, Val d'Isère refusent déjà
de fonctionner tel ce système retardataire et certainement illégal
à leurs yeux ? Le gouvernement actuel aidé de certains
représentants législatifs de ces régions vont-ils
attaquer, imposer ces conditions réductrices par rapport au passé
à ces ESF récalcitrantes ? UNE, LA, SOLUTION ? La meilleure
solution consiste, dans ce milieu de travailleurs indépendants
à diplôme d'état équivalent, à partager
le travail donné par l'ESF qui regroupe les clients, à égalité
pour tous les âges et dans les temps nécessaires sans restrictions,
déjà à un droit de retraite à taux plein et
non misérabiliste. Et, pour parfaire ce statut d'indépendants,
de favoriser les compétences et les leçons demandées
en heures de cours ou en sur-rémunérations spécifiques
à ces cours . Comme cela se faisait au bonheur de tous dans
certaines ESF (Arcs 1800 par exemple pendant plus de 20 ans question distribution
égalitaire du travail et compétences, et âge de droit
au travail sans restriction (en vérité 65 ans comme il avait
alors été souhaité naïvement par les plus anciens)
comme voté en 2008 en conséquence dans cette même
école, avant que le SNMSF n'intervienne, et n'impose ses discriminations,
dont l'une reconnue par la justice en attendant la seconde...). Système
fonctionnant pour d'autres structures identiques, des médecins
par exemple qui gagnent une consultation au montant identique pour la
majorité des affiliés SS, les différences de rémunérations
se faisant par les « spécialités »
et l'envie qu'a la clientèle de choisir tel ou tel médecin
plutôt qu'un autre. Voilà
nos visions sur le fonctionnement du SNMSF et de son ultra libéral
et discriminatoire pacte intergénérationnel. Ce document
est destiné à faire apparaître les faces cachées
de ce pacte et du fonctionnement aux intentions trompeuses du SNMSF. Déjà
des ESF ne vont pas respecter ce pacte, déjà une vingtaine
de moniteurs de ski attaquent en justice le SNMSF (DOC N°
16), en plus des 8 autres assignations déjà avancées,
déjà la presse s'intéresse à un texte semblant
dissimuler discriminations et éventuelles manipulations, dont l'une
concernant la Halde, et une autre dans la présentation de ce pacte,
pourquoi pas un ministère.
(doc écrit) : Interprétation de la prétendue "validation" de la Halde par un directeur ESF
PETITE ETUDE D'UNE DISTRIBUTION A L'ANCIENNETE ET SIMULATION D'UN PASSAGE AU STATUT D'OCCASIONNEL D'UN HAUT DE PLANNING AVANT L'AGE, AINSI QUE D'UNE DISTRIBUTION PLUS EGALITAIRE DU TRAVAIL AVEC LES JEUNES MONITEURS ET LES PLUS ANCIENS INTEGRES. ELOQUENT! Voilà une distribution du travail à lancienneté éloquente, éffrayante, avec ses effets sur les moniteurs engagés dans le prétendu solidaire Pacte Intergénérationnel !
J L né en 1924... Moniteur National, Guide de Haute montagne, occasionnel renfort vacances (85 ans).... Pas trop vieux pour enseigner pendant 4 semaines à l ESF de Gourette (PA)... Comment expliquer que ... Dupont, né en 1949... (62 ans) est trop vieux pour enseigner en janvier et en mars.... (le SNMSF parle d'image, de qualité d enseignement... De sécurité)... Il y a donc deux saisons .... La haute et la basse pour la sécurité !!....L image et la qualité de l'enseignement...
NOVEMBRE 2012
Le SNMSF demande à l'ESF des Arcs 1800 d'abandonner l'Appel, rendant ainsi définitif le délibéré d'Albertville du 21/02/2012 jugeant discriminatoire le débrayage des moniteurs de ski de plus de 61 ans, soit l'exclusion de ces derniers à leur droit au travail donné par leur ESF. La cour d'appel de Chambéry condamne toutefois l'ESF des Arcs 1800 à ses dépends...
21 JANVIER 2013
L'audience en urgence demandée par 22 moniteurs de plusieurs ESF a lieu au TGI de Grenoble Ces moniteurs demandent l'invalidation du Pacte dit Intergénérationnel qui tente de remplacer 61 ans (jugé discriminatoire par la justice) par 62 ans... , en même temps qu'il essaie de faire officialiser le droit de pouvoir ne donner du travail aux jeunes moniteurs (comme aux plus anciens) qu'en fonction de la fréquentation et de l'enneigement... Suffit de dire que les moniteurs placés plus haut, que les jeunes, dans le planning n'ont pas une fréquentation suffisante dans tous leurs cours et que toutes leurs heures ne sont pas pleines, pour que les jeune moniteurs servent uniquement de bouche-trous, nécessaires en vacances scolaires... Et comme la fréquentation dépend également de l'enneigement, la distribution du travail à l'ancienneté s'avère un piège imparable pour les jeunes. Distribution à l'ancienneté présentée et défendue comme Fondamental par les dirigeants du SNMSF. Voir plus haut: "ANALYSE DU PACTE INTERGENERATIONNEL
Le délibéré du TGI relève une fois de plus une discrimination à l'âge vis à vis des anciens moniteurs. N'est pas retenue, pour manque d'éléments suffisants sur la distribution à l'ancienneté et non sur le fond, la reconnaissance d'une discrimination vis à vis des plus jeunes moniteurs.
AVRIL 2013 Le SNMSF fait Appel, en procédure normale afin de gagner du temps...
MAI 2013 Malgré l'opposition en Assemblées Générales, pourtant dites souveraines, des ESF les plus emblématiques de France, COURCHEVEL 1850, COURCHEVEL 1550, LA PLAGNE CENTRE, BELLE PLAGNE, TIGNES, VAL THORENS, VAL D'ISERE, MERIBEL PAR EXEMPLE, Le SNMSF décide en Congres National de nouveaux statuts (dont le Pacte Intergénérationnel recalé en première instance deux mois plus tôt par la justice) manifestement illégaux quant-au droit de se présenter aux élections au Comité Directeur du SNMSF (exceptés eux-mêmes...) pour les moniteurs de plus de 62 ans (61 ans l'année précédente, mais depuis la justice est passée...), ainsi qu'au droit de se voir refuser le renouvèlement de sa carte syndicale pour tout moniteur, donc de son droit au travail, rien de moins, sans motif et sans recours... Nous comprenons mieux pourquoi on fait dire dans la bouche de Mme Rama Yade, ancienne Ministre des Sports à tendances politiques proches de G Chabert, que le SNMSF fonctionne tel une "République Bananière" L'EQUIPE MAGAZINE DU 22/06/2013... Phrase qui valut un retrait d'activité, sanction financière, d'une semaine, soit près de 7% de son chiffre d'affaire saison, à un moniteur de ski de l'ESF de la Toussuire. Sanction (illégale) relevée, mais trop tard, une fois que ce moniteur eut décidé d'envoyer devant les tribunaux et son ESF de la Toussuire, et le SNMSF décideur de cette sanction. Jugement le 17 décembre 2013 au TGI d'Albertville, en même temps que d'autres audiences suite à différentes procédures lancées par une demie-douzaine de moniteurs de ski contre leurs ESF pour discrimination, utilisation d'un compte "Caisse de Secours" en tant que banque à taux zéro... ou autre exclusion...
JUIN 2013 33 moniteurs de tous les massifs, malgré les tentatives d'intimidations du SNMSF, assignent le SNMSF pour revalorisation de leurs nombres de trimestres et de la valeur de leurs points. Conséquence d'une gestion par le SNMSF, dont les dirigeants sont présentés comme les plus responsables, d'une assurance retraite dite illégale et déficitaire par une commission de l'assemblé nationale de 2007.
JUILLET 2013 Marc Baclet, avocat des 22 moniteurs gagnants lors du délibéré du 18 mars 2013, demande au près du président de la Cour d'Appel de Grenoble que l'audience d'appel (demandée par le SNMSF perdant) soit faite en urgence, démarche que s'est bien gardé de faire le SNMSF jurant pourtant vouloir régler le problème le plus rapidement possible... L'AUDIENCE D'APPEL EN URGENCE EST ACCEPTEE PAR LE PRESIDENT DU TRIBUNAL, ET A LIEU LE
2 SEPTEMBRE 2013 L'AUDIENCE D'APPEL EN URGENCE SE DEROULE A GRENOBLE. LE DELIBERE EST FIXE AU 30 SEPTEMBRE 2013 Petite anecdote: P Raisson, "moniteur frondeur" selon G Chabert, rencontre dans les couloirs du Tribunal quelques avocats, des deux bords, qui lui souhaitent de gagner car eux-mêmes concernés par ces restrictions arbitraires au droit du travail et à la valeur de la retraite chez les indépendants qu'ils sont également... Jurisprudence inquiétante à leurs yeux! En attendant le délibéré, le SNMSF explique déjà à travers certains directeurs d'ESF qu'en cas d'échec de sa part, il tentera de faire légiférer afin une fois de plus d'essayer de cacher ces discriminations répétitives que l'on ne saurait voir, mêmes si avouées ainsi et reconnues par la justice. Le SNMSF, un état dans l'Etat, après des règles internes d'un syndicat professionnel plus fortes que les lois de la République... Le Comité Directeur du SNMSF, sous l'impulsion de son Président G Chabert, n'a-t-il pas eu le culot de faire accepter, ou refuser donc, par vote l'obligation gouvernementale de faire enfin entrer, après trente ans de refus illégal, les moniteurs de ski ESF dans le régime général de retraite (via la CIPAV) tout en ajoutant à cette proposition incontournable un petit alinéa perso jugé dans la foulée définitivement illégal pour discrimination par le TGI d'Albertville et la Cour d'Appel de Chambéry... Trop d'impunité tue la légalité. Encore faut-il s'en donner les moyens...
Pour ce faire, GILLES CHABERT, président du SNMSF, visite ses proches politiques, députés et sénateurs de tout bords dit-il, mais enfin surtout à droite se rattrappe-t-il, tentant parallèlement de battre le rappel de son réseau d'influence via certains organes de presse, dont L'Equipe Magazine (22/06/2013) dans lequel il explique que "si on n'est pas ami avec lui, il est difficile de se faire élire"..." Article éloquent, dans lequel: l'Assemblée Nationale, le Sénat, les partis, et certains ministres sont présentés par lui-même comme des outils fort malléables en ses mains, pendant qu'un pape, un autre Grand de ce monde, semblerait lui offrir sa bénédiction (pardon posthume?) face à son action de Président du SNMS. Président pourtant décrit comme principal responsable d'une gestion d'assurance retraite illégale et déficitaire par une commission de l'Assemblée nationale en 2007, puis repris à travers son syndicat et certaines de ses ESFdeux fois par la justice française pour "discrimination".
Les moniteurs plaignants se font envoyer dans les cordes via le jugement d'Appel du 30/09/2013
\____ ____/ / ! ! \ !! /-----------\
LES MONITEURS PLAIGNANTS OBTIENNENT GAIN DE CAUSE PAR ARRET DE LA COUR DE CASSATION LE 17 FEVRIER 2015
LE PACTE INTERGENERATIONNEL DEFENDU PAR LE SNMSF ET CERTAIN MINISTRE DU MOMENT EST JUGE ILLICITE \____ ____/
!! \_____/ GRACE A SES MILLIONS D'EUROS LE SNMSF PEUT SUPPORTER ET FAIRE TRAINER TOUTES LES AFFAIRES EN COURS.
En parallèle, une loi règlant (de façon encore trop restrictive à notre avis) la réduction d'activité des moniteurs de ski a été éditée en mai 2014 avec deux amendements à propos desquels il serait malséant de donner le nom de celui qui les fit vivre...
A propos dorénavant des mélanges des genres, syndical et politique,
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